Étiquette : Matériaux

C’est quoi Mat-Light 4.0 ?

Par Sarah Journée

Publié le 9 mars 2023 C’est quoi Mat-Light 4.0 ? Découvrez dans cette vidéo le projet d’excellence Mat-Light 4.0 qui porte la signature de l’Université de Haute-Alsace. Cette nouvelle signature pour l’université est soutenue grâce à un financement du programme ExcellencES sous toutes ses formes, piloté par l’Agence Nationale de la Recherche (ANR), obtenu conjointement par l’UHA et le CNRS dans le cadre du projet Mat-Light 4.0. https://youtu.be/kJgjt_giHYE?si=atSoxoqtFZO9DEmu Sur le même thème Tous |Article |Non classé |Podcast |Question |Recherche participative |Vidéo Avis de Recherche N°5 – MatLight 4.0 19 décembre 2023/ Publié le 19 décembre 2023 Avis de Recherche N°5 – MatLight 4.0   >>> Avis de recherche est une émission… Podcast Laurent Simon, responsable de la plateforme de caractérisation des matériaux Mat-Lights 4.0 17 février 2025/ Publié le 17 février 2025 Laurent Simon, responsable de la plateforme de caractérisation des matériaux Mat-Light 4.0 Rencontrez dans cette… Vidéo Arnaud Spangenberg, responsable de la plateforme de procédés photo-induits Mat-Light 4.0 26 mars 2025/ Publié le 26 mars 2025 Arnaud Spangenberg, responsable de la plateforme de procédés photo-induits Mat-Light 4.0 Rencontrez dans cette vidéo… Vidéo

Mulhouse : cinq doctorants fourniront de l’énergie sur la lune

Par Sarah Journée

Publié le 10 mars 2021 Mulhouse : cinq doctorants fourniront de l’énergie sur la lune   Tomasz Wronski, Adeline Andrieu, Axel Meyer, Gregory Guicheney et Driss Laraqui, voici les noms des cinq doctorant·es de l’UHA qui ont remporté le concours ActInSPace du Centre National d’Etudes Spatiales (CNES). Leur équipe « Full metal energy » ont remporté un voyage à Kourou, où se situe la base de lancement spatial française, un vol en apesanteur, mais également un accompagnement pour développer s’ils le souhaitent leur start-up imaginée pour l’occasion du concours. Découvrez dans cette vidéo leur projet pour la lune !    Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : L’Alsace Tomasz Wronski Doctorant en génie des procédés (LGRE) Adeline Andrieu Doctorante en génie des procédés (LGRE) Axel Meyer Doctorant en génie des procédés (LGRE) Gregory Guicheney Doctorant en génie des procédés (LGRE) Driss Laraqui Docteur en génie des procédés (LGRE) Sur le même thème Tous |Article |Non classé |Podcast |Question |Recherche participative |Vidéo Thèse CIFRE – Conventions Industrielles de Formation par la Recherche 18 mars 2019/ Publié le 18 mars 2019 Thèse CIFRE – Conventions Industrielles de Formation par la Recherche Vous avez certainement déjà entendu… Vidéo Fête de la science : Driss Laraqui, jeune docteur à l’honneur 29 septembre 2020/ Publié le 29 septembre 2020 Fête de la science : Driss Laraqui, jeune docteur à l’honneur   La Fête de… Vidéo BD « Sciences en bulles » : La poudre de Magnésium, un carburant propre et renouvelable pour nos voitures ? 6 octobre 2020/ Publié le 6 octobre 2020 BD « Sciences en bulles » : La poudre de Magnésium, un carburant propre et… Article

Les minéraux argileux, sources d’innovation depuis des millénaires

Par Sarah Journée

Publié le 2 novembre 2020 Les minéraux argileux, sources d’innovation depuis des millénaires Liva Dzene, Université de Haute-Alsace (UHA) et Jocelyne Brendlé, Université de Haute-Alsace (UHA) Les minéraux argileux sont l’une des premières ressources naturelles utilisées par l’espèce humaine. Ils ont accompagné le développement de nombreux domaines : habitat, outillage, art, communication, santé, hygiène, matériaux. Un mélange d’argile, de sables et de paille hachée, nommé (adobe) fait ainsi partie des premiers matériaux de construction et est toujours utilisé dans le monde entier. Les argiles ont aussi largement contribué à l’essor de la communication. Les Sumériens, Babyloniens, Assyriens et Hittites ont dès 4000 ans av. J.-C. gravé leurs sceaux dans des tablettes d’argiles à l’aide d’un roseau taillé en pointe et ont aussi constitué le premier support de l’écriture cunéiforme, support recyclable. Séchées à l’air ou au soleil, ces tablettes non cuites restaient fragiles ; un simple trempage dans l’eau permettait de les réutiliser. En revanche, après cuisson dans un four, elles pouvaient être conservées, donnant ainsi naissance aux premières bibliothèques. Leurs propriétés absorbantes en font également des matériaux de choix dans le domaine de la santé, sous forme de cataplasmes, dans des pansements à usage externe, ou encore en tant que pansement gastrique. Les argiles rentrent également dans la composition de nombreux produits cosmétiques (savons, masques, maquillage) ou sont appliquées directement comme dans le cas du ghassoul. Le ghassoul, absorbe les corps gras ; les autres argiles peuvent contribuer à l’hydratation de la peau, sa purification, sa reminéralisation. L’action de l’argile peut aussi être antiseptique et cicatrisante. La structure des minéraux argileux Les minéraux argileux sont présents depuis des millénaires dans l’histoire humaine, mais leur structure n’a été ou comprise que dans les années 1920 après l’invention des techniques de diffraction des rayons X. La notion d’« argiles » est utilisée pour nommer toutes les particules minérales qui font moins de deux micromètres. Cette taille est de l’ordre de la résolution du microscope optique. Les cristaux de minéraux argileux sont donc très petits, et pour examiner en détail leur structure, il a fallu attendre le développement d’équipements ayant une résolution plus importante. Il se trouve que la longueur des rayons X est de la même échelle que les distances entre les atomes dans les cristaux. Suite à la découverte du phénomène de la diffraction des rayons X et de la relation entre la longueur d’onde des rayons X et la distance entre les atomes, il est donc devenu possible d’étudier la structure cristalline, y compris celle des minéraux argileux. En 1927, le scientifique français Charles Maugin détermina avec une précision exacte la taille de mailles cristallines des micas et leur composition chimique. Puis en 1930 le célèbre chimiste Linus Pauling fut le premier à résoudre les structures des minéraux argileux : talc, pyrophyllite, muscovite et chlorite. Ainsi, nous connaissons aujourd’hui la structure exacte de ces cristaux minuscules. Leur structure est composée des couches siliciques et magnésiennes ou alumineuses qui forment des feuillets qui à leur tour sont empilés pour former des cristaux lamellaires. Les principaux éléments qui entrent dans la structure des minéraux argileux sont le Si, Al, Mg, O et H, mais de nombreux autres éléments peuvent s’y trouver tels que Fe, Ni et Zn. La grande variété des minéraux argileux provient de la possibilité de combiner ces éléments de plusieurs façons bien définies via notamment des substitutions d’un élément par un autre au sein d’un feuillet. Ceci en revanche va conférer des propriétés particulières et bien différentes en fonction de la quantité et la position des substitutions dans la structure des minéraux argileux. Différents autres éléments tels que le sodium, le potassium ou encore le calcium peuvent également se trouver entre les feuillets.   Mimer la nature : synthèse des minéraux argileux dans le laboratoire Présentes sur la quasi-totalité de la surface de la Terre, les argiles ont des compositions et propriétés dépendantes des conditions géologiques dans lesquelles elles se sont formées. Pour une même argile, des caractéristiques très diverses à la fois en matière de compositions chimiques, coloration, cristallinité, nature des phases associées peuvent être observées en fonction de la nature du gisement. Ces hétérogénéités peuvent être un frein pour certaines applications industrielles dans lesquelles il est nécessaire d’utiliser des composés purs. Des recherches ont ainsi été initiées afin de synthétiser ces matériaux, qui dans les conditions géologiques, mettent plusieurs millions d’années à se former. L’histoire de la synthèse de talc illustre à la fois la manière dont les chercheurs ont réussi à préparer un talc pur et l’évolution des méthodes de préparation via des méthodes de plus en plus douces. Alors que les premiers essais de synthèse ont été faits à des températures voisines de 1000 °C et des pressions allant jusqu’à 2800 bars et pour des durées de cristallisation de quelques jours, il est aujourd’hui possible d’obtenir des talcs en quelques dizaines de secondes par un procédé continu en eau supercritique – les propriétés de l’eau en état supercritique (au-delà de 374 °C et 218 bar) sont intermédiaires entre celles de l’état gazeux et liquide. Hormis le talc, d’autres minéraux argileux ont à présent des analogues synthétiques. Les méthodes de préparation permettent outre la maîtrise de la composition chimique, la modulation de la longueur des feuillets, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles applications. Parmi les dernières voies de synthèse mises au point, figure également la voie sol-gel permettant de former, à température et pression ambiante et en une seule étape, des composés de type talc comportant des groupements fonctionnels, évitant ainsi les traitements post-synthèse nécessaires pour conférer certaines propriétés aux matériaux.   Les minéraux argileux, matériaux durables pour le futur Les argiles employées depuis des millénaires sont des matériaux versatiles. Les développements actuels dans le domaine de l’environnement (piégeage de polluants organiques et minéraux, catalyse…) de matériaux multifonctionnels tels les composites polymères argiles permettant par exemple de conférer des propriétés anti-feu. Les systèmes de relargage contrôlé de molécules d’intérêt sous l’action d’une modification de pH, de la lumière ou d’un champ magnétique ouvrent la voie à de nouvelles applications dans le futur et ce notamment dans les applications biomédicales. Elles connaissent…

Ma Thèse en 180 secondes 2020 – Ophélie Bringel

Par Sarah Journée

Publié le 9 octobre 2020 Ma thèse en 180 secondes 2020 – Ophélie Bringel Ma thèse en 180 secondes est un concours internationale durant lequel des doctorant·es francophones des quatre coins du monde présentent leur sujet de recherche vulgarisé … en 180 secondes top chrono ! Véritable exercice de vulgarisation, d’éloquence et de mise en scène, ce concours permet de partager au grand public la recherche qui se fait dans les laboratoires.   Ophélie Bringel est la seule doctorante de l’UHA à s’être présentée à la finale Alsace de 2020. Une édition spéciale étant donné qu’elle a eu lieu en plein pendant l’épidémie de Covid-19, forçant les candidat·es à présenter leur sujet de thèse face caméra uniquement ! Elle a présenté son sujet de thèse intitulé « Etude des caractéristiques chimiques et structurales d’une pollution solide formée sur les rails de voies ferrées et les roues de matériels roulants ». https://youtu.be/t2oxOTnZA7E?si=9_9uyBjmLLBBtRkv Ophélie Bringel Doctorante en science des matériaux (IS2M) Sur le même thème Tous |Article |Non classé |Podcast |Question |Recherche participative |Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2016 – Amna Amri 4 avril 2016/ Publié le 4 avril 2016 Ma thèse en 180 secondes 2016 – Amna Amri Ma thèse en 180 secondes est… Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2017 – Tuba Kavalli 11 avril 2017/ Publié le 11 avril 2017 Ma thèse en 180 secondes 2017 – Tuba Kavalli Ma thèse en 180 secondes est… Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2024 – Eya Ghomri 21 mars 2024/ Publié le 21 mars 2024 Ma thèse en 180 secondes 2024 – Eya Ghomri Ma thèse en 180 secondes est… Vidéo

BD « Sciences en bulles » : La poudre de Magnésium, un carburant propre et renouvelable pour nos voitures ?

Par Sarah Journée

Publié le 6 octobre 2020 BD « Sciences en bulles » : La poudre de Magnésium, un carburant propre et renouvelable pour nos voitures ? Driss Laraqui, Université de Haute-Alsace (UHA)   Cet extrait de la BD « Sciences en bulles » est publié dans le cadre de la Fête de la science dont The Conversation France est partenaire.   La lutte contre le dérèglement climatique pousse les constructeurs automobiles à chercher une énergie verte et renouvelable qui permette une mobilité abordable et respectueuse de l’environnement. Actuellement, les sources d’énergies renouvelables connues, telles que les panneaux solaires et les éoliennes, sont intermittentes et isolées dans certaines zones géographiques. Pour permettre leur utilisation généralisée, elles dépendent de batteries qui transportent une trop faible énergie par volume pour permettre une autonomie suffisante du véhicule (sans évoquer les contraintes de production et recyclage de ces dernières). Le même problème de densité énergétique est reproché à l’hydrogène. On utilise dans les moteurs thermiques actuels la combustion de diesel ou d’essence. On aurait donc « juste » à trouver un carburant qui permette d’allier performances (forte densité énergétique) et zéro émission de CO2 (carburant décarboné). Revenons donc au tableau périodique pour chercher un élément qui puisse réagir avec l’oxygène, qui ne soit pas rare (pas cher), qui ne soit pas lourd (noyau léger) et dont les oxydes ne soient pas toxiques. Il reste donc les métaux. Parmi eux, l’aluminium, le fer et le magnésium sont parmi les 8 éléments les plus présents de la croûte terrestre. Leur abondance est une force. De plus, la poudre métallique est facile et sûre à transporter et on peut récupérer les oxydes produits par la combustion pour régénérer le métal initial. C’est potentiellement un combustible renouvelable s’inscrivant dans une économie circulaire. La combustion de métaux est tellement énergétique qu’elle est déjà utilisée actuellement dans les fusées pour « booster » leur poussée (depuis les années 60). Néanmoins, il ne serait pas envisageable, même pour les fans de sensations fortes, d’utiliser ce type de propulsion pour une voiture. Mais utiliser de la poudre métallique dans les moteurs de voiture actuels non plus. Il faut faire une modification importante en réalisant la combustion à l’extérieur de la chambre à pistons pour éviter les abrasions et le bouchage du cylindre par les particules. C’est là où l’on est ravi de se rappeler que Robert Stirling a inventé un moteur (qui porte son nom) où la chambre de combustion est à l’extérieur et chauffe un gaz (inerte) dans la chambre à piston pour permettre la conversion de l’énergie thermique en énergie mécanique afin de faire tourner les roues. En tant qu’ingénieur/doctorant motoriste, mon travail consiste à développer cette chambre de combustion unique au monde. Son rôle est d’enfermer une flamme de magnésium et de faire en sorte qu’elle ne bouge pas pour récupérer son rayonnement et ses gaz chauds. Il faut aussi que les particules d’oxydes formées soient toutes récupérées par des systèmes de filtration. Cela permettra de recycler ces oxydes et produire la poudre métallique utilisée au départ (recyclage qui se fera sur une station fixe à l’aide d’énergies vertes). L’objectif final du projet étant d’enrichir la palette d’énergies vertes (biocarburants, hydrogène, métaux) qui permettra de s’adapter à plusieurs applications (puissance requise), utilisations (autonomie suivant le trajet) et localisations géographiques (proximité pour l’approvisionnement). Dans le cas précis des métaux, il faudra trouver une synergie avec les autres acteurs économiques importants tels que le transport maritime, la production d’électricité et la métallurgie.     Driss Laraqui, Docteur en Génie des procédés, Université de Haute-Alsace (UHA)   Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original. Driss Laraqui Docteur en génie des procédés (LGRE) Sur le même thème Tous |Article |Non classé |Podcast |Question |Recherche participative |Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2017 – Un aller simple pour la lumière ! Clémentine BIDAUD 7 avril 2017/ Publié le 7 avril 2017 Ma thèse en 180 secondes : Un aller simple pour la lumière ! Clémentine BIDAUD… Vidéo Fête de la science : Driss Laraqui, jeune docteur à l’honneur 29 septembre 2020/ Publié le 29 septembre 2020 Fête de la science : Driss Laraqui, jeune docteur à l’honneur   La Fête de… Vidéo Mulhouse : cinq doctorants fourniront de l’énergie sur la lune 10 mars 2021/ Publié le 10 mars 2021 Mulhouse : cinq doctorants fourniront de l’énergie sur la lune   Tomasz Wronski, Adeline Andrieu,… Vidéo

Coronavirus – Comment Mulhouse fait avancer les masques textiles

Par Sarah Journée

Publié le 1 octobre 2020 Coronavirus – Comment Mulhouse fait avancer les masques textiles   En plein pic de la crise de Covid-19, la France s’est heurtée à un soucis majeur : la disponibilité des masques chirurgicaux, protections essentielles contre la propagation du virus. Ces derniers étant en grande majorité réservés aux professionnels du secteur médical, il a fallu parer au plus pressé pour la population française et de nombreux masques faits maison en tissu ont vu le jour. Cependant le développement de masques en tissus présente une problématique majeure : leur performance n’est pas mesurée et à priori pas comparable aux masques chirurgicaux. Deux laboratoires de l’Université de Haute Alsace se sont donc alliés pour mettre au point des masques textiles et des tests pour que leurs performances soient évaluées : le Laboratoire de Physique et Mécanique Textile (LPMT) et le Laboratoire Gestion Risques et Environnement (LGRE). Rencontrez dans cette vidéo Marie-Ange Bueno et Valérie Tschamber, les deux chercheuses porteuses du projet « Motus ».   Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : L’Alsace Marie-Ange Bueno Professeur en science du textile (ENSISA & LPMT) Valérie Tschamber Professeure en gestion des risques et environnement (FST & LGRE) Sur le même thème Tous |Article |Non classé |Podcast |Question |Recherche participative |Vidéo Du pantalon bouffant à la doudoune pour tous : le style aux sports d’hiver 19 février 2019/ Publié le 19 février 2019 Du pantalon bouffant à la doudoune pour tous : le style aux sports d’hiver Présentation… Podcast Le vêtement sportif, histoire de modes 20 juillet 2023/ Publié le 20 juillet 2023 Le vêtement sportif, histoire de modes Basket montante Adidas par Rick Owens, Automne-Hiver 2015 –… Podcast Portraits de femmes de sciences : Corinne Jung, chercheuse au LPMT 13 mars 2024/ Publié le 13 mars 2024 Portraits de femmes de sciences : Corinne Jung, chercheuse au LPMT Rencontrez dans cette vidéo… Vidéo

Fête de la science : Driss Laraqui, jeune docteur à l’honneur

Par Sarah Journée

Publié le 29 septembre 2020 Fête de la science : Driss Laraqui, jeune docteur à l’honneur   La Fête de la Science est l’un des événements de valorisation des recherches scientifiques auprès du grand public les plus prisés par la communauté scientifique et par le public. Le thème de cet événement de vulgarisation scientifique pour l’année 2020 est celui de « Planète Nature ». Pour cette occasion, l’Etat a financé la parution d’un livre mettant en avant sous forme de bande dessinée les travaux de dix doctorants. Parmi eux Driss Laraqui, doctorant au Laboratoire Gestion des Risques et Environnement (LGRE). . Pour célébrer cet achèvement et permettre la diffusion de cette BD au plus grand nombre, le Service Universitaire d’Action Culturelle (SUAC) de l’UHA a mis en avant les planches de la BD dessinée par Peb & Fox sur le campus pour que tout un chacun puisse la consulter. Vous pouvez quant à vous la retrouver ici.   Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : L’Alsace Driss Laraqui Docteur en génie des procédés (LGRE) Sur le même thème Tous |Article |Non classé |Podcast |Question |Recherche participative |Vidéo BD « Sciences en bulles » : La poudre de Magnésium, un carburant propre et renouvelable pour nos voitures ? 6 octobre 2020/ Publié le 6 octobre 2020 BD « Sciences en bulles » : La poudre de Magnésium, un carburant propre et… Article Mulhouse : cinq doctorants fourniront de l’énergie sur la lune 10 mars 2021/ Publié le 10 mars 2021 Mulhouse : cinq doctorants fourniront de l’énergie sur la lune   Tomasz Wronski, Adeline Andrieu,… Vidéo Retour sur la fête de la science 2024 ! 22 octobre 2024/ Publié le 22 octobre 2024 Retour sur la Fête de la Science 2024 ! La Fête de la Science est… Vidéo

Rosalind Franklin, à 2 brins du Nobel

Par Sarah Journée

Publié le 1 avril 2020 Rosalind Franklin, à 2 brins du Nobel Rosalind Franklin et la photo 51, sur la façade du Franklin-Wilkins Building au King’s College (Londres) – Robin Stott (cc-by-sa/2.0)   Qui était Rosalind Franklin ? Quel apport a-t-elle fait à la biologie et la physique ? Découvrez tout ceci dans le podcast France Culture “La Méthode scientifique”.   Les invité·es : Carole Ecoffet est chargée de recherche à l’Institut de Science des Matériaux de Mulhouse (IS2M). Michel Morange est professeur émérite de biologie à l’Institut d’histoire et de philosophie des sciences et techniques (IHPST).   Écoutez le podcast : Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : France Culture Carole Ecoffet Chargée de recherche en sciences des matériaux (IS2M) Sur le même thème Tous |Article |Non classé |Podcast |Question |Recherche participative |Vidéo Et le prix Nobel ne fut pas attribué à Rosalind Franklin 3 octobre 2016/ Publié le 3 octobre 2016 Et le prix Nobel ne fut pas attribué à Rosalind Franklin Rosalind Frankin ©Getty –… Podcast Vers un microscope optique universel « tout-en-un » ? 5 avril 2023/ Publié le 5 avril 2023 Vers un microscope optique universel « tout-en-un » ? Olivier Haeberlé, Université de Haute-Alsace (UHA); Matthieu Debailleul, Université… Article Retour sur la journée “Filles, Maths et informatique” 2 octobre 2023/ Publié le 2 octobre 2023 Retour sur la journée “Filles, Maths et informatique” La journée “Filles, maths et informatique” est… Vidéo

Ma Thèse en 180 secondes 2018 – Romain Jagu

Par Sarah Journée

Publié le 3 avril 2018 Ma thèse en 180 secondes 2018 – Romain Jagu Ma thèse en 180 secondes est un concours internationale durant lequel des doctorant·es francophones des quatre coins du monde présentent leur sujet de recherche vulgarisé … en 180 secondes top chrono ! Véritable exercice de vulgarisation, d’éloquence et de mise en scène, ce concours permet de partager au grand public la recherche qui se fait dans les laboratoires.   Romain Jagu est le seul candidat de l’UHA à s’être présenté à la finale Alsace de 2018. Il y a présenté son sujet de thèse intitulé « Synthèse et caractérisation de matériaux hydrogels pour le domaine de la vision ». https://youtu.be/xOiqz2M_L9o?si=KODX-NLzFzhqKsP- Romain Jagu Doctorant en science des matériaux (LPIM) Sur le même thème Tous |Article |Non classé |Podcast |Question |Recherche participative |Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2016 – Adeline Marguier 4 avril 2016/ Publié le 4 avril 2016 Ma thèse en 180 secondes 2016 – Adeline Marguier Ma thèse en 180 secondes est… Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2016 – Jérôme Cabannes-Boue 4 avril 2016/ Publié le 4 avril 2016 Ma thèse en 180 secondes 2016 – Jérôme Cabannes-Boue Ma thèse en 180 secondes est… Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2023 – Anaïs Loison 9 mars 2023/ Publié le 9 mars 2023 Ma thèse en 180 secondes 2023 – Anaïs Loison Ma thèse en 180 secondes est… Vidéo

Ma Thèse en 180 secondes 2017 – Tuba Kavalli

Par Sarah Journée

Publié le 11 avril 2017 Ma thèse en 180 secondes 2017 – Tuba Kavalli Ma thèse en 180 secondes est un concours internationale durant lequel des doctorant·es francophones des quatre coins du monde présentent leur sujet de recherche vulgarisé … en 180 secondes top chrono ! Véritable exercice de vulgarisation, d’éloquence et de mise en scène, ce concours permet de partager au grand public la recherche qui se fait dans les laboratoires.   Tuba Kavalli est l’une des deux doctorantes de l’UHA à s’être présentée à la finale Alsace de 2017. Elle a présenté son sujet de thèse intitulé « Matériaux photopolymères avancés et systèmes de photo-amorçage pour l’impression 3D ». https://youtu.be/IsSFTa7JW5E?si=8JeKbLZ7feJ_BGdA&t=4949 Tuba Kavalli Doctorante en science des matériaux (IS2M) Sur le même thème Tous |Article |Non classé |Podcast |Question |Recherche participative |Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2016 – Madeline Vauthier 4 avril 2016/ Publié le 4 avril 2016 Ma thèse en 180 secondes 2016 – Madeline Vauthier Ma thèse en 180 secondes est… Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2018 – Romain Jagu 3 avril 2018/ Publié le 3 avril 2018 Ma thèse en 180 secondes 2018 – Romain Jagu Ma thèse en 180 secondes est… Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2023 – Justine Leclercq 9 mars 2023/ Publié le 9 mars 2023 Ma thèse en 180 secondes 2023 – Justine Leclercq Ma thèse en 180 secondes est… Vidéo