Mois : mars 2024

Portraits de femmes de sciences : Anne-Sophie Schuller – Maître de conférences à l’UHA – ENSCMu

Par Sarah Journée

Publié le 28 mars 2024 Portraits de femmes de sciences : Anne-Sophie Schuller – Maître de conférences à l’UHA – ENSCMu Rencontrez dans cette vidéo une femme de science : Anne-Sophie Schuller, maîtresse de conférence à l’UHA. Elle enseigne à l’Ecole Nationale Supérieure de Chimie de Mulhouse (ENSCMu) et mène de front ses recherches au sein du Laboratoire de Photochimie et d’Ingénierie Macromoléculaire (LPIM). Découvrez son parcours, son métier et les recherches qu’elle effectue au sein de l’UHA. https://youtu.be/ODlrcPaLehw?si=OxF67lbOLdTQKXT5 Anne-Sophie Schuller Maîtresse de conférences (ENSCMu & LPIM) Sur le même thème Tous |Article |Non classé |Podcast |Question |Recherche participative |Vidéo Portraits de femmes de sciences : Corinne Jung, chercheuse au LPMT 13 mars 2024/ Publié le 13 mars 2024 Portraits de femmes de sciences : Corinne Jung, chercheuse au LPMT Rencontrez dans cette vidéo… Vidéo Portraits de femmes de sciences : Karine Anselme – Directrice de recherche au CNRS 22 mars 2024/ Publié le 22 mars 2024 Portraits de femmes de sciences : Karine Anselme – Directrice de recherche au CNRS Rencontrez… Vidéo Portrait de Laura Marchand, responsable de la plateforme de synthèse automatisée Mat-Light 4.0 17 février 2025/ Publié le 17 février 2025 Portrait de Laura Marchand, responsable de la plateforme de synthèse automatisée Mat-Light 4.0 Rencontrez dans… Vidéo

Portraits de femmes de sciences : Karine Anselme – Directrice de recherche au CNRS

Par Sarah Journée

Publié le 22 mars 2024 Portraits de femmes de sciences : Karine Anselme – Directrice de recherche au CNRS Rencontrez dans cette vidéo une femme de science : Karine Anselme, directrice de recherche au CNRS. Elle mène ses recherches au sein de l’Institut de Science des Matériaux de Mulhouse (IS2M). Découvrez son métier et les recherches qu’elle effectue au sein de l’UHA. https://youtu.be/Xwgy_hO3sMc?si=Nd_OqTJxrnUdQzZf Karine Anselme Directrice de recherche au CNRS en science des matériaux (IS2M) Sur le même thème Tous |Article |Non classé |Podcast |Question |Recherche participative |Vidéo Portraits de femmes de sciences : Corinne Jung, chercheuse au LPMT 13 mars 2024/ Publié le 13 mars 2024 Portraits de femmes de sciences : Corinne Jung, chercheuse au LPMT Rencontrez dans cette vidéo… Vidéo Portraits de femmes de sciences : Anne-Sophie Schuller – Maître de conférences à l’UHA – ENSCMu 28 mars 2024/ Publié le 28 mars 2024 Portraits de femmes de sciences : Anne-Sophie Schuller – Maître de conférences à l’UHA –… Vidéo Portrait de Laura Marchand, responsable de la plateforme de synthèse automatisée Mat-Light 4.0 17 février 2025/ Publié le 17 février 2025 Portrait de Laura Marchand, responsable de la plateforme de synthèse automatisée Mat-Light 4.0 Rencontrez dans… Vidéo

Ma Thèse en 180 secondes 2024 – Orlane Douguet

Par Sarah Journée

Publié le 21 mars 2024 Ma thèse en 180 secondes 2024 – Orlane Douguet Ma thèse en 180 secondes est un concours internationale durant lequel des doctorant·es francophones des quatre coins du monde présentent leur sujet de recherche vulgarisé … en 180 secondes top chrono ! Véritable exercice de vulgarisation, d’éloquence et de mise en scène, ce concours permet de partager au grand public la recherche qui se fait dans les laboratoires.   Orlane Douguet est l’une des deux doctorantes de l’UHA à s’être présentées à la finale Alsace de 2024. Elle y a présenté son sujet de thèse intitulé « Etude des relations entre la structure de divers matériaux textiles et leur efficacité de filtration vis-à-vis des particules fines ». https://www.youtube.com/watch?v=PK6iixMupPg Orlane Douguet Doctorante en science des matériaux textiles (LGRE & LPMT) Sur le même thème Tous |Article |Non classé |Podcast |Question |Recherche participative |Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2016 – Mathieu Veuillet 4 avril 2016/ Publié le 4 avril 2016 Ma thèse en 180 secondes 2016 – Mathieu Veuillet Ma thèse en 180 secondes est… Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2020 – Ophélie Bringel 9 octobre 2020/ Publié le 9 octobre 2020 Ma thèse en 180 secondes 2020 – Ophélie Bringel Ma thèse en 180 secondes est… Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2023 – Justine Leclercq 9 mars 2023/ Publié le 9 mars 2023 Ma thèse en 180 secondes 2023 – Justine Leclercq Ma thèse en 180 secondes est… Vidéo

Ma Thèse en 180 secondes 2024 – Eya Ghomri

Par Sarah Journée

Publié le 21 mars 2024 Ma thèse en 180 secondes 2024 – Eya Ghomri Ma thèse en 180 secondes est un concours internationale durant lequel des doctorant·es francophones des quatre coins du monde présentent leur sujet de recherche vulgarisé … en 180 secondes top chrono ! Véritable exercice de vulgarisation, d’éloquence et de mise en scène, ce concours permet de partager au grand public la recherche qui se fait dans les laboratoires.   Eya Ghomri est l’une des deux doctorantes de l’UHA à s’être présentées à la finale Alsace de 2024. Elle y a présenté son sujet de thèse portant sur l’ « Etude des propriétés physico-chimiques et potentiels de valorisation des charbons (biochars) issus de la pyrolyse de la biomasse ». https://www.youtube.com/watch?v=PK6iixMupPg Eya Ghomri Doctorante en chimie et science des matériaux (IS2M) Sur le même thème Tous |Article |Non classé |Podcast |Question |Recherche participative |Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2016 – Jérôme Cabannes-Boue 4 avril 2016/ Publié le 4 avril 2016 Ma thèse en 180 secondes 2016 – Jérôme Cabannes-Boue Ma thèse en 180 secondes est… Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2020 – Ophélie Bringel 9 octobre 2020/ Publié le 9 octobre 2020 Ma thèse en 180 secondes 2020 – Ophélie Bringel Ma thèse en 180 secondes est… Vidéo Ma Thèse en 180 secondes 2024 – Orlane Douguet 21 mars 2024/ Publié le 21 mars 2024 Ma thèse en 180 secondes 2024 – Orlane Douguet Ma thèse en 180 secondes est… Vidéo

Portraits de femmes de sciences : Corinne Jung, chercheuse au LPMT

Par Sarah Journée

Publié le 13 mars 2024 Portraits de femmes de sciences : Corinne Jung, chercheuse au LPMT Rencontrez dans cette vidéo une femme de science : Corinne Jung, maîtresse de conférence à l’UHA. Elle enseigne à l’Ecole Nationale Supérieure d’Ingénieurs Sud-Alsace (ENSISA) et mène de front ses recherches au sein du Laboratoire de Physique et Mécanique Textile de Mulhouse (LPMT). Découvrez son parcours, son métier et les recherches qu’elle effectue au sein de l’UHA. https://youtu.be/XPSKZHP54LA?si=dOTM-_IJB_z-Wval Corinne Jung Maîtresse de conférence (ENSISA & LPMT) Sur le même thème Tous |Article |Non classé |Podcast |Question |Recherche participative |Vidéo Coronavirus – Comment Mulhouse fait avancer les masques textiles 1 octobre 2020/ Publié le 1 octobre 2020 Coronavirus – Comment Mulhouse fait avancer les masques textiles   En plein pic de la… Vidéo Portraits de femmes de sciences : Karine Anselme – Directrice de recherche au CNRS 22 mars 2024/ Publié le 22 mars 2024 Portraits de femmes de sciences : Karine Anselme – Directrice de recherche au CNRS Rencontrez… Vidéo Portraits de femmes de sciences : Anne-Sophie Schuller – Maître de conférences à l’UHA – ENSCMu 28 mars 2024/ Publié le 28 mars 2024 Portraits de femmes de sciences : Anne-Sophie Schuller – Maître de conférences à l’UHA –… Vidéo

Endométriose : et si l’activité physique aidait à combattre les symptômes ?

Par Sarah Journée

Publié le 12 mars 2024 Endométriose : et si l’activité physique aidait à combattre les symptômes ? Marie-Anne Jean, Université de Haute-Alsace (UHA); Géraldine Escriva-Boulley, Université de Nîmes et Tracy Milane, Université de Haute-Alsace (UHA) Des études préliminaires suggèrent un intérêt de l’activité physique adaptée pour atténuer les symptômes de l’endométriose. Des programmes sont lancés pour confirmer ces résultats. Il est encore possible de participer à l’une de ces études toujours en cours. Douleurs pelviennes et fatigue sont les symptômes les plus récurrents de l’endométriose, cette affection chronique caractérisée par la présence de tissu de l’endomètre en dehors de la cavité utérine ; l’endomètre étant la muqueuse qui tapisse l’intérieur de l’utérus et qui est éliminée pendant les règles. Mais l’endométriose est aussi fréquemment associée à des troubles digestifs, des douleurs neuropathiques (qui sont des douleurs relatives à une lésion ou à un dysfonctionnement du système nerveux, notamment lorsque ces douleurs sont intenses et persistantes), à des douleurs lors des rapports sexuels, ou encore à de l’infertilité. L’endométriose est aujourd’hui un enjeu majeur de santé publique au regard de ses conséquences sur la vie des personnes atteintes et du nombre de femmes concernées, près de 10 % d’entre elles. Les répercussions de cette maladie peuvent être invalidantes et toucher tous les domaines de la vie des personnes atteintes. Le phénomène peut être exacerbé par la chronicité des symptômes qui, pour certaines femmes, ne se limitent pas à la période des règles. Ils peuvent être chroniques, survenir durant le syndrome prémenstruel, au moment de l’ovulation…   S’interroger sur les bénéfices de l’activité physique dans l’endométriose Nous savons déjà que pratiquer de l’activité physique se révèle bénéfique pour réduire les douleurs chroniques, neuropathiques et les processus inflammatoires associés. Faire de l’exercice physique améliore également le bien-être physique et mental chez les douloureux chroniques mais aussi chez des personnes atteintes d’autres pathologies comme des cancers. C’est pourquoi il est possible de penser que dans le cadre de l’endométriose, l’activité physique pourrait aussi améliorer la qualité de vie ainsi que les symptômes douloureux. Ces suppositions sont renforcées par la mise en évidence de la réduction de marqueurs inflammatoires et une réduction des lésions dans des études chez l’animal. Mais ces conclusions chez l’animal ne peuvent pas être extrapolées à l’humain. C’est pourquoi des études chez les femmes sont nécessaires. A notre connaissance, une douzaine d’études a été réalisée pour étudier les effets de l’activité physique et de l’exercice sur les douleurs pelviennes et le bien-être physique et mental des personnes atteintes d’endométriose. Bien qu’un effet positif sur la gestion de la douleur et l’amélioration des symptômes anxiodépressifs ait été observé, les résultats de ces études ne permettent pas de démontrer sans équivoque les bénéfices de l’activité physique sur cette maladie.   Douleurs, stress et anxiété : principaux freins à la pratique En termes d’activité physique, les femmes atteintes d’endométriose seraient moins actives. Cela pourrait s’expliquer par le fait qu’elles sont davantage exposées aux symptômes d’anxiété et de dépression, qu’elles ont plus de difficultés à gérer le stress et qu’elles sont plus sensibles à la douleur physique que les autres. La combinaison de tous ces facteurs, associée à la peur d’amplifier les douleurs par le mouvement, a tendance à enfermer les personnes atteintes d’endométriose dans un cercle vicieux de sédentarité. Dit autrement : quand une personne est pliée en deux de douleur, le premier réflexe n’est pas de faire de l’activité physique !   Le programme CRESCENDO sur la pratique sportive et l’endométriose Nous avons mené une étude, baptisée programme CRESCENDO pour « aCRoitre le Sport et l’Exercice pour Combattre l’ENDOmétriose ». Dans la première partie de cette étude nous avons mené une enquête par questionnaire auprès de 470 personnes (âge moyen de 31 ans, écart type de 10 ans). Près de la moitié d’entre elles (47 %) était atteinte d’endométriose. Les résultats du questionnaire n’ont révélé aucune différence dans les niveaux d’activité physique légère (exemple la marche), modérée (exemple le jogging) et vigoureuse (exemple le trail ou le sprint) entre les femmes atteintes d’endométriose et celles qui ne le sont pas. Néanmoins, d’autres différences ont été mises en évidence. Les femmes atteintes d’endométriose montrent une motivation plus importante envers l’activité physique, c’est-à-dire qu’elles ont intégré le fait que l’activité physique peut être bénéfique. Elles ne pensent pas que l’activité puisse présenter un danger pour elles. Cependant, elles se perçoivent comme n’étant pas libres de pratiquer quand elles le souhaitent (faible contrôle comportemental). Leur état de santé apparait comme l’obstacle le plus important à leur pratique. Elles ont un score plus élevé de frustration des besoins de compétence et de proximité sociale. Autrement dit, lorsqu’elles font de l’activité physique, elles se sentent davantage incompétentes et rejetées par les autres. De même, lorsqu’on les interroge, elles pensent que les femmes malades, comme elles, manquent d’intérêt et d’habiletés pour l’activité physique. Les effets secondaires sont également un frein. Les analgésiques (ou antidouleurs), par exemple, peuvent causer des problèmes d’estomac, des nausées, des maux de tête, des vomissements, de la fatigue, des vertiges et des changements de pression artérielle. Quant à la thérapie hormonale, elle peut induire des problèmes de sommeil, de l’anxiété, de la dépression et des douleurs articulaires.   Des premiers résultats à confirmer sur la fatigue, le bien-être et la douleur Nous avons ensuite construit et testé notre programme sur dix femmes volontaires en leur proposant plusieurs types d’activités physiques adaptées, pratiquées à différentes intensités. Les séances axées sur la mobilité et le stretching (c’est-à-dire des activités dites « douces ») semblent avoir davantage de bénéfices sur la douleur par comparaison avec les séances d’activités de renforcement musculaire ou cardiovasculaires. Mais ces deux dernières ont donné de meilleurs résultats quand elles étaient pratiquées ensemble pour améliorer la fatigue et le bien-être. En résumé, les résultats globaux (tous types d’activités confondus) suggèrent une amélioration significative de la douleur et une tendance à l’amélioration de la fatigue et du bien-être. Chaque personne semble réagir différemment en termes de perception et de tolérance à la douleur suivant les types d’efforts et de séances, mais également suivant les moments du cycle, de la…